Témoignage de Benoît DELTRIEU, directeur de Géofondation (3 agences en Nouvelle-Aquitaine), BET de Géotechnique de 10 personnes.
En mars 2017, Michèle Rousseau avait été nommée à la tête du BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières), en remplacement de Vincent Laflèche. Trois ans après, elle vient d’être reconduite à la présidence du BRGM pour un second mandat de 5 ans.
Géologue et géotechnicien de formation, Daniel Faisantieu a dédié sa vie à la connaissance.
Apprendre de ses disciplines de prédilection d’abord, et interroger les sols sans a priori pour réapprendre toujours à « penser l’impensable ». Un credo que ce laïc, longtemps attaché à la filière nucléaire, applique aujourd’hui dans son métier de consultant expert en sinistres auprès des assureurs spécialisées et des grands groupes de BTP.
La géotechnique n’est pas un domaine inconnu pour la
nouvelle présidente de l’AITF, l’un des parrains du Salon Solscope. Élue en décembre 2018, en fonction depuis le 1er janvier 2019, Emmanuelle Lointier souhaite peser sur la réforme territoriale, renforcer les liens de proximité avec ses adhérents et diffuser les expertises techniques.
Mise en réseau de jeunes géotechniciens de tous horizons, ouverture sur l’international, enjeux environnementaux, innovations, organisation de journées techniques…, les objectifs du CFMS Jeunes que préside Aymeric Boffa sont multiples.
De son père, François, créateur de la société Geotec en 1973, Olivier Barnoud a hérité la passion des sciences de la terre. Après un apprentissage du bureau d’études chez Bachy, puis du terrain au sein de Soletanche Bachy, l’ingénieur spécialisé en mécanique des sols a, sous
le regard du père tutélaire, amplement contribué à faire de Géotec un groupe de sondage et d’ingénierie structuré qui compte dans le paysage français de la géotechnique, au top 3 en chiffre d’affaires.
Ce sera finalement à ce père de trois enfants, volant de ses propres ailes, qu’il incombe de piloter une nouvelle étape décisive pour l’avenir du groupe Géotec : l’internationalisation.
Un développement que son père, décédé prématurément le 22 novembre 2016, avait tenté naguère, sans succès, et redessiné les contours dès la fin des années 2000. Pour sa première incursion au-delà des frontières, Olivier Barnoud choisit de se poser à Dakar où il rachète Sénélabo, conçue comme base d’expansion en Afrique de l’Ouest. Et l’année suivante, fin 2017, il jette son dévolu sur le belge Verbeke, sa maîtrise de la géothermie et l’ouverture sur les marchés hollandais et allemand.
Fondé en 1948, le Comité français de mécanique des sols et
de géotechnique (CFMS) est une association professionnelle
dynamique, affiliée à la Société internationale de mécanique
des sols et de géotechnique (SIMSG). Quels sont ses objectifs, ses actions, ses différents groupes de travail, comment est-il composé… ? Portrait de cet organisme qui fêtera bientôt ses 70 ans.
Homme passionné et fort de son expérience dans le milieu des travaux publics de grande envergure, Didier Verrouil, 63 ans, issu de l’École des mines de Nancy, a rejoint SOLETANCHE BACHY dans les années 1980. En 2005, il est nommé directeur du développement chargé des filiales techniques, devient directeur de la zone Eurofrance, puis directeur général adjoint du groupe.
Aujourd’hui, directeur général de Soletanche Bachy, filiale de
Soletanche Freyssinet (division de génie civil spécialisé de VINCI), Didier Verrouil a, depuis sa prise de fonction en 2014, mis l’accent sur la sécurité, le recrutement, l’organisation décentralisée, et sur un plan d’entreprise dénommé «Robustesse ».
Pour cette nouvelle rubrique intitulée « Tête d’affiche », nous avons demandé à Laurent Fayat, directeur général du groupe FAYAT, de nous accorder une interview. Rencontre au siège du groupe, à Bordeaux.
«L’USG veille à la bonne application de la norme NF-P 94-500.»
« Les membres du SOFFONS ont massivement investi pour améliorer la sécurité sur leurs chantiers, et particulièrement celle liée aux machines. »
Le management des risques a pour objet d’identifier, d’évaluer,
de gérer et de piloter les événements susceptibles d’affecter
la pérennité d’une entreprise, la valeur de ses actifs. Il doit ainsi,
fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des
objectifs de l’organisation. Le « risk manager » est chargé de
conduire et d’animer le processus de maîtrise des risques.